Jupiter

Le données rassemblées par les sondes Voyager 1 et 2, ainsi que, plus récemment, par la sonde Galileo et par le télescope Hubble, ont révélé que l'atmosphère de Jupiter, dont l'épaisseur est estimé de 1.000 km, est secouée par des continus mouvements turbulents: la surface visible de la planète est le sommet de telle atmosphère. Elle est composée par hydrogène (85%) et hélium (15%), avec traces de méthane, ammoniaque, eau et soufre. La chaleur solaire et la chaleur émanée par l'intérieur de la planète, qui rayonne une quantité d'énergie égale à deux fois et demi de celle reçue du Soleil, amorcent dans l'atmosphère des grands mouvements connectifs, avec formation de nuages, qui, à cause de la haute vitesse de rotation, se disposent le long des bandes parallèles à l'équateur. La disposition régulière de ces bandes est interrompue par des perturbations cycloniques, dont la plus grande est la Grande tache rouge, large pour 30-40.000 km en longitude et 13.000 km en latitude.

Des modèles théoriques montrent que à une profondeur de 1.000 km la pression force l'hydrogène à passer dans l'état liquide; et à 24.000 km l'hydrogène deviendrait solide. A une profondeur de 60.000 km, enfin, il y aurait un noyau de rocs et métaux lourds.

Les sondes ont découvert l'existence d'un anneau de particules solides sur le plan équatorial et un champ magnétique qui est 4.000 fois plus intense de celui terrestre et s'étend jusqu'à une distance de 8 million de km.

Jupiter est le centre d'un système de seize satellites.